Rencontre explosive -)

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Je venais de me réveiller, je mettais préparer pour sortir pour le petit déjeuné, étant à peine arrivé à Seattle je n’avais encore rien acheté et je ne voulais pas compter sur Irina pour ça ! Alors je pris la direction pour le Starbuck Cofee. J’avais pris un caché au lait et au sucre ou devrais-je dire un lait au café inondé de sucre ? Bref, ça en revenait au même, je commençais à me dirigeai vers une table afin de m’installer tranquillement quand on me bouscula « Putain ! Vous ne pouvez pas faire attention ! » Criais-je en le toisant sévèrement, alors que le café brulant c’était imprégné de mon haut. Je relevai la tête pour y voir un beau gosse mais cela ne l’excusez en rien !

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Après une courte nuit de sommeil suite à une nuit assez agitée, l'humeur d'Alexander Stones n'était pas des plus rayonnantes. Un café était ce qui avait le plus de chances de le réveiller et de lui ramener un sourire sur son visage. Il s'était donc naturellement dirigé vers le Starbucks en sortant de son appartement. Après avoir commandé un café, noir, il se préparait à aller s'installer confortablement près de la fenêtre, perdu dans ses pensées et ses souvenirs de la veille lorsqu'il sentit quelque chose ou plutôt quelqu'un lui foncer dedans.
- Putain! Vous ne pouvez pas faire attention, cria la personne.
Irrité, le jeune homme baissa le regard vers celle qui venait de l'agresser verbalement. Son chandail était complètement taché de café. La jeune femme le fusilla des yeux alors qu'il la détaillait. Il devait l'avouer, elle était plutôt jolie. Dommage qu'elle ait une voix aussi haut perchée qui lui écorchait les oreilles après sa courte nuit.
- Pardon? Vous, vous pourriez regarder où vous marchez, dit-il, agacé. Vous venez de renverser mon café, si vous n'avez pas remarqué.
Ramassant une serviette qui traînait sur la table voisine, il en profita pour s'essuyer. Sans un regard pour la jeune femme, il continua son chemin vers la table près de la fenêtre. Il était à moins d'un mètre de la fenêtre lorsqu'il entendit:
- Non, mais je rêve ou quoi !?
Se tournant vers la voix, Alexander vit la jeune femme s'approcher de lui à grands pas, furieuse.

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Je voyais bien qu’il était aussi irrité que moi mais je n’en avais rien à faire ! C’était mon haut neuf ! Et c’est là qu’il se mit à me dire que c’était de ma faute, je reculé d’un pas et ouvrait la bouche, scandalisé… Puis il prit une serviette pour s’essuyer pour ensuite parti, en colère je me mis à crier « Non mais je rêve ou quoi ?! » Puis je me mis à ses talons, prête à lui rentrer dedans « Vous vous prenez pour qui ? Vous m’avez bousculé et après c’est à moi de m’excuser ou autre ? Faudrait arrêtez de se foutre de la gueule du monde et assumez ses conneries dans la vie ! »

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- Vous vous prenez pour qui ? Vous m’avez bousculé et après c’est à moi de m’excuser ou autre ? Faudrait arrêtez de se foutre de la gueule du monde et assumez ses conneries dans la vie !
Quelques personnes s'étaient retournées et fixaient la scène, curieux. Sentant son agacement monter en flèche, Alexander s'accorda quelques secondes pour respirer. Il n'allait pas faire de scène. Il n'allait pas faire de scène. Il se répéta la phrase plusieurs fois, tel un mantra. Une fois qu'il fut certain de contrôler son irritation, il dit, d'une voix qu'il espérait conciliante:
- Admettons chacun nos torts. J'étais, peut-être, dans mes pensées. Vous m'avez foncé dedans. Fin de l'histoire. Je vous pardonne.
La jeune femme l'observa, abasourdie. Il voyait la colère enflammer encore plus ses grands yeux et sa mâchoire se contracter. Profitant de son mutisme, il s'assit, se désinteressant à nouveau de la jeune femme. Si elle pouvait seulement partir, marmonna-t-il indistinctement en agrippant sa tasse de café.

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Alors qu’il se mit à dire que nous avions chacun nos tords et qu’il me pardonner de l’avoir bousculé j’eu crus vraiment rêver… Il continué de prendre son café, comme ça, comme si de rien était… Je remarquai alors que des clients curieux, nous regardèrent, je les toisais sévèrement « Oh occupez-vous de vos affaires vous aussi, on n’a pas besoin de commère ! » Il fallait que je me calme, ma nature de loup amplifié mes émotions est ce n’était vraiment pas bon du tout ! Je soufflai et repris en essayant d’être calme « Je ne m’excuserai pas pour une chose dont je suis victime ! Vous avez détruit mon haut, je n’ai plus de café non plus et je suis très en colère par l’arrogance dont vous faîtes preuves ! Alors si quelqu’un doit s’excuser c’est vous et c’est à moi de vous pardonnez… Puis la moindre des politesses c’est de me regarder quand je vous parle ! »

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D'une oreille distraite, il l'entendit vociférer après les clients qui avaient la malchance de suivre leur échange houleux. Elle avait un sacré caractère, c'était indubitable. Dommage qu'elle s'en soit pris à quelqu'un qui en avait autant ou sinon plus.
- Je ne m’excuserai pas pour une chose dont je suis victime ! Vous avez détruit mon haut, je n’ai plus de café non plus et je suis très en colère par l’arrogance dont vous faîtes preuves ! Alors si quelqu’un doit s’excuser c’est vous et c’est à moi de vous pardonnez… Puis la moindre des politesses c’est de me regarder quand je vous parle !
- Écoute-moi, ma chérie, dit-il en lui accordant enfin un regard. Je viens de passer une nuit atroce, j'ai juste envie de prendre mon café, relax, alors rentre tes griffes, ok?
Arrogant, et puis quoi? Elle racontait n'importe quoi cette fille. La teinture lui avait atteint le cerveau, probablement.
- Je ne partirai pas sans avoir eu vos excuses, déclara-t-elle, bornée.
Il soupira longuement. Son arme cachée dans son holster sous sa veste sembla se faire plus lourde, lui rappelant qu'elle était là et qu'elle pouvait facilement régler le problème. Cependant, malgré la tentation, il ne pouvait pas. Il serait mal vu de tuer une jeune fille humaine dans un lieu publique. Allô, la discrétion, hein. D'un autre côté, elle arrêterait de le harceler pour avoir des excuses qu'elle n'avait aucun droit de revendiquer. Alors qu'il soupesait l'idée dans sa tête, elle s'assit brutalement sur la chaise face à lui.
- Qu'est-ce que vous faites, la questionna-t-il, franchement irrité cette fois.

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Il était hors de question je ne parte sans avoir eu des excuses ! Et puis quoi encore ! Alors je m’installer en face de lui alors qu’il me demanda ce que je voulais de façon irrité « Je m’installe, ça ne se voit pas ! » Un serveur passer et je lui réclamer un autre café en précisant de mettre ça sur le compte du monsieur en face de moi et avant que le mec pus agir, le serveur partit.

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Ne sachant pas trop comment réagir, il se contenta de grogner quelque chose dans sa barbe. Qu'avait-il fait à l'Univers pour devoir se coltiner une blonde têtue si tôt le matin?
- Tu sais, tu risques d'attendre très longtemps.
Elle le fixa, sans un mot, alors qu'il buvait une gorgée de café en l'observant. En tout autre circonstance, il se serait excusé dans les secondes qui avaient suivi l'incident, pourtant, aujourd'hui, il en avait franchement rien à faire de cette jolie fille. Fatigue, probablement. Le serveur revint quelques temps après, déposa la tasse et repartit aussitôt.
- A part envoyer promener les gens, refuser de t'excuser et les harceler, qu'est-ce que tu fais dans la vie, demanda-t-il, railleur.
Pourquoi lui parlait-il? Les mots étaient sortis sans qu'il ne se retienne. Curiosité? Intéret? Ennui? Il ne pouvait pas le dire. Autant lui faire la conversation, se dit-il. Elle risque d'être assis longtemps avec moi.

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J’avais commandai alors mon café et on me l’avait servi sur le compte de cet homme assez mignon, je commençais à boire mon café quand il me demandais ce que je faisais dans la vie, surprise, je commençais à m’étouffer… Après ma petite crise finie, je le regardai, choquée « Pardon ? »

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Il haussa un sourcil lorsqu'elle s'étouffa dans son café. D'une voix étrangement aigue, elle demanda:
- Pardon?
Il répéta à nouveau:
- Dans la vie? Tu fais quoi? Tu va à l'université ou quelque chose du genre?
Il attendit sa réponse avec beaucoup plus d'intérêt qu'il ne voulait se l'avouer.

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Je fronçais les sourcilles. Je ne pouvais m’empêchai de douter que son comportement cacher quelques choses, plus méfiante que moi, tu meurs ! Toute fois je lui souris avant de répondre « Je viens d’arriver ici alors pour l’instant rien, je vais faire des recherches de travail et toi ? »

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Elle sembla réfléchir à la bonne chose à dire avant de sourire et de lui répondre. Son comportement suspicieux le fit tilter. Avait-elle un secret? Probablement. Personne ne fronçait les sourcils lorsqu'on se faisait demander à quoi occupait-on nos journées. Il lui prêta plus attention.
Son esprit de chasseur se réveilla. Était-il possible que.. ? Il était certain qu'elle n'était pas un vampire, ça c'était clair. Quand tu passais des dizaines d'années a chasser, tu pouvais en détecter au moindre petit signe.
- Je me spécialise dans l'extermination des bêtes indésirables, répondit-il en souriant légèrement.
Il ricana mentalement. Elle n'avait aucune idée de quelle bête il parlait réellement.

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Au moment où il se mit à dire qu’il était dans l’extermination de bête. Je me tendis. Pur réflexe de ma part, me demandant si ce n’était pas un Éradiqueur. Je lui fis un sourire forcée avant de répondre « Oh et euuuh quel genre de bête est votre préféré ? » Demandais-je.

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Il remarqua aisément qu'elle se tendit à sa réponse. Intéressant. Était-elle, par hasard, une de ces bêtes indésirables? Il devrait faire de plus amples recherches sur elle.
- Mes préférées? Je dirais les grosses bêtes poilues et celles aux crocs acérés. Il y a un plus grand challenge à les tuer.
Avant qu'elle ait pu ajouter de quoi, il se leva, prit les deux additions dans ses mains avant de regarder la jeune femme. Dans un élan inattendu de générosité, il sortit quarante dollars, le déposa sur la table et déclara:
- Ça devrait couvrir pour ton haut.
Les effets de la caféine commença à faire effet, maintenant. Son côté séducteur se réveillait peu à peu.
- Au plaisir de te refoncer dedans, ajouta-t-il en lui faisant un clin d'oeil.

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Je blanchi quand il se mit à dire que ces bêtes préférés étaient des grosses bêtes poilues et celles aux crocs acérés… Me sentant visée instantanément puis il se leva et me donna de l’argent comme quoi sa couvrait mon haut « Tu peux te le garder ton argent, j’attendais juste des excuses de ta part, chose que je n’ai pas eu » Je me levai m’apprêtant à partir quand il se mit alors à dire… Au plaisir de me renfoncer dedans, sans prendre la peine de me tournais vers lui je lui répondis « C’est ça » Puis sortit de l’établissement.

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Il la suivit des yeux, la regardant quitter le Starbucks, un léger sourire aux lèvres. Un sacré caractère. Il ramassa ensuite son argent une fois qu'elle fut sortie. Cette fille méritait son attention. Il allait de ce pas se pencher sur le cas de la jeune femme, afin de trouver de plus amples informations sur elle. Elle avait piqué sa curiosité, ce qui n'était pas sa nécessairement une bonne chose. Il irait jusqu'au bout, au risque de découvrir de vilains petits secrets.

[Scène close]